Nom: Akumu
Prénom: Makkurayami
Surnom:Makku
Âge: 19 ans...c'est un assez jeune pur-sang.
Sexe: J'ai l'air de quoi? Je suis un homme!
Sexualité: Des femmes! Je veux des femmes!
Pouvoirs: 1- S'insinuer dans le subconscient des gens.
2- Paralyser les gens d'un simple regard
3- Il viendra avec le temps.
Année: C'est sa toute première année dans cette académie, et il compte bien s'amuser un peu.
Forces et faiblesses: Même s'il ne montre ni émotions ni rien d'ailleurs, les autres vampires comme lui peuvent sentir que sa faiblesse réside dans ses propres pouvoirs. Cependant, sa force est retrouvée dans l'art du combat et les arts martiaux.
Description physique: Makku fait peur à voir. Il est grand et pâle. Ses cheveux sont de tailles différentes, certains sont tressées, d'autres sont libres, ils sont d'un rouge sang avec des ombres noires. Sur ses doigts il aime utiliser le sang pour faire des griffes. Cependant, même si l'on ne regarde pas son physique imposant, ses yeux de sang finissent de vous achever. Il ne porte pas l'uniforme réglementaire que lorsqu'il est avec le reste de la classe de nuit. Sinon, il aime bien porter un bas de kimono tout aussi rouge, révélant son tattou sur son ventre.
Descritpion psychologique: Dans sa tête, il voit les choses les plus morbides et cruelles qu'une personne pourrait faire, mais ses gestes ne laissent rien entrevoir. Il est méthodique, calme et patient, attendant silencieusement sa proie tel le serpent venimeux. Mais comme tout homme, il a aussi des sentiments...quelque part dans cet être noir et monstrueux. Ses parents l'ayant élevé comme étant une arme plus qu'autre chose, il ne connait pas l'amour, il ne connait pas la pitiée et il ne sait pas quand s'arrêter.
Histoire: Il faisait sombre, très sombre. On entendait rire au lointain. Un rire macabre, très sombre et coléreux. La peinture sur les murs semblait irréelle. Ce n'était pas de la peinture, mais du sang. Un cri, puis un rire, puis le silence. Des bruits de pas dans la noirceur. Un jeune homme passe devant une fenêtre éclairée que par la lune. Son corps est couvert de sang, ses yeux ne ressentent rien, ses mains saignent. Ce n'est pas son sang, c'est celui des autres...tout les autres. Il marche vers la porte. Il n'avait jamais vut l'extérieur, et quand il ouvrit la porte, le vent caressa son visage et son corps meurtrit et les gens de la night class qui l'attendaient pour l'emporter à l'académie. Il s'évanouit.
Autre:Il ne parle pas souvent de lui et son passé lui est tabou.